Salves de lettres
La rue donne des miroirs au soleil. Décharnées, les ombres d'un doute poussent devant elles à l'erreur. L'heure de l'errance est rapidement advenue.
Et tu joues, ris, dans ta fraîche insouciance.
Je donne deux mains à qui les prend par la taille. Tu mures et mures des silences trahis.
Lavis et aplats se posent sur les parois de ton heure.
Je tire sur ton bras dénudé des salves de lettres.
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