Détailler l'abondance
Les sons confus filent le long des tiges au sommet desquelles dodelinent les parasols des ombelles.
Le bois flotté fêle les ombres que les parois avalent.
Le bois flotté fêle les ombres que les parois avalent.
Le matin rechigne à se lever et les yeux du sommeil humectés de rêves cherchent la clé qui les fermera.
La fraîch-heur plisse le ciel au niveau de l'eau-rizon.
Là-bas l'aube l'aube câline des plages imaginaires.
L'étau du temps, ce dessert fleuri, les quatorze angles du miroir, la fleur fanée d'un gardénia et les minutes titubent à tâtons.
Ton trésor détaille l'abondance.
Tu taies le trop.
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