L'alphabet du trop

Pas céder, cédiller les devenir et remiser les sous-venir. Le cœur fondu, flatter les silences tendus comme des grands draps blancs sous les tilleuls.
La lumière ocre les vers des feuillages des cahiers. La voix gonflée de pelures, j'entends la plainte qui sourd sous ma peau. Le flamenco frappé par mon cœur donne des allures fières à tes mots disséminés.
Dis "sème" et plonge les racines de ton senti dans la canne du ç.
Auréole déconfite du voile lumineux dans lequel tu te fonds.
Passer des "céder" au cou.
Passé décédé beaucoup à l'alphabet du trop.

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