Opale

Eau pâle, tendre vers l'autre côté de soie. Diluée dans les brisures grisées du ciel, la mer opulente dilapide ses nuances. Elle invente des couleurs sans nom qui vibrent et claquent jusque dans l'écume des silences. La bruine chagrine les vitres de tâches. Le sable crisse dans les plis et sous les pas

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Le froid et le sang

Le chemin vers la maison de cailloux

ANOU K