Déambuler

Du lin froissé..., du tissu fin, comme de la lingerie, se plisse dans les courbes de la peau. Prête à te voir, je déambule. Du noir sur ma profonde vue plonge mes regards. Je sens battre ton sang sans rien autour que ce coeur qui l'enferme. Et le bois par petites gorgées devient forêt.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Le froid et le sang

Le chemin vers la maison de cailloux

Le pot de lumière