Lit, bras, vous

Libre avoue et brille au bout du couloir collant en voile envolé. Sur la soie de ta peau se dessine la chair la plus tendre et ronde d'un bras menu, d'une cheville gracile, d'un bout de toi.
Étoilés fermement les devenir des issues pâlissent.
J'applaudis le clapotis du vent mâché fou. L'air siffle et souffle et rafle les baisers gercés de vagues marins. Lueur esseulée diffuse bleue le soir troublant.
Lacune révulsée révolue les versets adversaires vers hier. Les angles gris aux traits fins abolissent le chemin de ta main.
Il suffit d'une plume et le bas frotte.
Des transparences brunes luisent en bleu. Douce heure croisée mêlée à ta chère.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Le froid et le sang

Le chemin vers la maison de cailloux

Le pot de lumière