Pars levant qui gourmand…


Par le vent qui gourd m’empoigne maladroitement, je sens les bouts des doigts résister à la sensation.
Direction de la colline perdue.
Du haut, il est des bruissements tactiles. Ils vous soufflent la peau en chair de poule.
Dessous la pluie terreuse qui gonfle les semelles de boue.
Debout, le frisson au garde à vous.
Vouloir comme un t, comme un désir…
Irrationnel.
Où l’on ment des frilosités vénales.
Pars levant qui gourmand…

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