DOn RE MI


Fa si li, non la … Là est le lu, lis-le, l’eau l’a lissé.
Que mentent les religieuses… petit décroché aux coutumes épiscopales.
Le silence radieux dispose ses instants de lumière à l’embrassé du soleil et de la lune, aux bouts du jour.
Triste brillance qui lèche les surfaces miroirs malpolies.
La gloire du béton crache la proximité dans les conduits auditifs.
Baisse la ligne de la nuit à l’horizontale de ta fenêtre.
Je clique, je tire et je lâche.
Dénivèle la descente de la côte du mont de la sorcière.
Grimoires, écritures, soupes et potions dévisagent la verrue sous le regard farouche.
Le sort s’y perd, longue malentendance sur les pentes de la colline nue.
Je clique, je tape et je reclique.
Concomitance des lignes sélectionnées.
Quand vibrent les murs sans dire leur épicentre.
Le bleu se dispute souvent au gris blanchi et chaulé des parois extérieures.
Vague de non-bruit qui ondule la lumière crépusculaire et aurorale.
Insectes dociles et assassins falsifient le langage clérical.
Fa sol itude… tire ta tête trop triste, ton o t’est tu.

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