Kandinsky: Black Lines


Commentaires

  1. Etendue sur les étagères des livres,
    Perdue dans la poussière des textes,
    Tu éclabousses les murs,
    A l’encre de ses manuscrits.

    Tu cherches de tes yeux,
    La lumière du jour,
    La fenêtre est fermée,
    Juste cette bougie,
    Qui éclaire à peine.

    Tu dessines des ronds et des ronds,
    Tu danses au rythme de ses cercles,
    Tu t’évanouies.

    Jamais tu ne renonceras aux recueils de poésie
    Ni ne les remplaceras pas aux tables de multiplications
    Jamais tu n’oublieras la fleur, l’eau et l’oiseau,
    Et toujours tu dessineras des ronds et des ronds
    A l’encre des manuscrits
    Etendue sur les étagères des livres de ta vie.

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

Le froid et le sang

Le chemin vers la maison de cailloux

Le pot de lumière