Dénouer des chaleurs

Il chante l’air qui frais lisse la peau. Il pépie le vent qui rare caresse les plis. Dans la petitesse du matin, il pousse une bise qui précieuse délivre un devenir plus vrai. Le souffle sur le dos des mains et dans les creux de la peau chuchote une fraicheur émue. Et le silence mouvant dénoue le vivant de ses chaleurs.

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