Pendre aux c les cédilles

Pendre aux c les cédilles, c’est donner du sens aux cas désespérés. Tendre ses filles vers le ciel, c’est tirer des larmes au réveil. Il n’est pas plus belle larme que celle tombée pour l’enfance. Habiller de robes les forêts de jambes, c’est couvrir de feuillage les troncs. Nul n’est aussi zen que le zef qui n’a plus la toux ni d’atout. Perdre son tant, c’est gagner son peu. Nul ne bouge la langue sans y bousculer ses sens. Sept sont les sentences qui vont par le feu. Partir c’est fouiller un peu.

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