L'eau coupée

Embusqué, le temps démesuré s'allonge nu. Les aimés s’arque-boutent sur de grandes toiles d'amour.
Les armures de toiles brûlent dans le vent. Les arts, murs d'étoiles, brûlent en levant. Le voile vétuste flotte à nos regards. La folle vêtue flotta nos égards.
Je sous-tiens ton bras dans l'écriture du jour. Je souviens ton drap dans les grisures du jour.
Tu occupes de ton silence l'espace. De mon silence laid passe l'eau coupée.

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