La pointe du désir

A la fleur inconnue qui beige orna ton visage, je lance un verre d'O.
Chaleur immense d'un corps mal dénudé qui timide obtempère.
Au crayonné, griffer les mots en sylllabes lascives.
Quand à la bouche pointe le désir, clore les yeux et devenir.

Commentaires

  1. Simple et "parlant"...

    dans le contour des mots, les non dits dans les dits, il y a effectivement toute l'émotion du vécu...

    RépondreSupprimer
  2. merci beaucoup, ce que vous dites me touche...

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

Le froid et le sang

Le chemin vers la maison de cailloux

ANOU K