Quand tu me dis veille

Langues crèmes à mes langueurs. La nuit crachote le bruit d'une pluie médiocre. J'ai ta main à mon coeur. Le soleil ment sur ma peau ocre où une vague de rousseur a pointillé le chemin qui mène à mon coeur. A la plume, le silence parle des froissements et des glissements. Elle l'écoute si bien qu'elle vole des morceaux de mes joies.
Et j'ai les plus beaux sourires à mon chevet et à mon oreille quand tu me dis: veille.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Le froid et le sang

Le chemin vers la maison de cailloux

Le pot de lumière