Jouer avec les gris des enfants
Ombres des ombelles sur le chocolat de toi.
Dans un long soupir, leurs longues tiges maladroites.
Dans l'angle d'ouie, un grincement dit le vent.
Dans la main, l'ombre facile est belle. Lové dans le creux de soi, le coton arrache des cris de fureur aux nuits passantes.
Le bois écrit sa langue dans les nervures.
J'ai ta main au-dedans.
Mon souffle gémit et le vent sculpte des larmes à mes joues. Pas assez frais il m'entame.
Fil de doigt à toi, émue, je presse ma peau bavarde sur les matières. Le chuchotis des feuilles joue avec les gris des enfants.
Dans un long soupir, leurs longues tiges maladroites.
Dans l'angle d'ouie, un grincement dit le vent.
Dans la main, l'ombre facile est belle. Lové dans le creux de soi, le coton arrache des cris de fureur aux nuits passantes.
Le bois écrit sa langue dans les nervures.
J'ai ta main au-dedans.
Mon souffle gémit et le vent sculpte des larmes à mes joues. Pas assez frais il m'entame.
Fil de doigt à toi, émue, je presse ma peau bavarde sur les matières. Le chuchotis des feuilles joue avec les gris des enfants.
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