Que Paris...
Tracer, suivre les larmes. Où elles mènent car je ne connais rien.
J'entends les bruits des cafés, je lis les noms des boutiques et parfois une forêt de buildings, une fausse liberté, une allée en île me reviennent, fluides:pour vivre à Paris, il faut vivre grandement, ne pas avoir à fréquenter trop longtemps toujours ses couloirs. Que Paris s'épanouisse dans le regard...
J'entends les bruits des cafés, je lis les noms des boutiques et parfois une forêt de buildings, une fausse liberté, une allée en île me reviennent, fluides:pour vivre à Paris, il faut vivre grandement, ne pas avoir à fréquenter trop longtemps toujours ses couloirs. Que Paris s'épanouisse dans le regard...
En effet, Paris, c'est d'abord dans son vécu qu'il est particulièrement "grand" et "iirésistible"...
RépondreSupprimeroui, mais ce que je voulais dire surtout c'est que ce vécu se doit d'être léger, facile, comme dans les films en quelque sorte,... oui, un peu comme dans La Grande Vie de Salinger
RépondreSupprimermais avant tout, merci à vous de ce premier commentaire, Monsieur ou Madame X. ! :-)
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